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Articles de journaux | 18 fév. 2022
Apiterra sur Le Point

En ville, les ruches s’épanouissent bien mieux qu’a la campagne

Quelle entreprise parisienne n’a pas encore de ruches sur son toit ? C’est devenu un véritable phénomène de mode. Y ont succombé : VinciL’OréalCanal+ et même nous, Le Point. C’est en 2016 que nos abeilles ont débarqué du Maine-et-Loire, livrées par Apiterra, une entreprise spécialisée dans l’installation de ruches en ville. Dès le premier jour, les braves ouvrières se sont admirablement adaptées à l’environnement parisien.

Si les ruches parisiennes peuvent également connaître des mortalités, celles-ci n’ont pourtant rien à voir avec les accidents météorologiques ou la présence de pesticide comme on l’observe dans les campagnes françaises. Les abeilles parisiennes ont la chance de butiner des fleurs d’arbres ou de balcon sans dose massive de pesticides.

Faire connaître l’abeille en ville

Drôle de zèbre que Ronan de Kervénoaël, le fondateur d’Apiterra, qui abandonne subitement sa place de dirigeant dans une grosse boîte internationale pour faire son miel. « En 2010, j’ai eu un électrochoc en lisant un article qui démontrait que la disparition des abeilles entraînerait le grave déclin de la pollinisation et donc de toute l’alimentation humaine. J’ai démissionné pour prendre un sac à dos et j’ai fait le tour de tous les professionnels de l’apiculture ; je suis parti en Angleterre, en Irlande, en Italie et en France. Je suis revenu à Paris avec l’objectif d’élever des essaims et faire connaître l’abeille en ville. »

Avant de créer Apiterra, il consulte notamment Yves Le Conte, directeur de l’unité recherche abeilles et environnement de l’Inra. « Le plus grand spécialiste en France ! » explique-t-il. Sur ses conseils, il sélectionne la souche la plus douce d’abeille, la Buckfast, créée par un moine. Il apprend à fabriquer des essaims. Apiterra travaille volontiers avec les collectivités locales qui veulent impliquer des jeunes, des chômeurs ou encore des patients d’hôpitaux psychiatriques. « Nous voulons jouer un rôle social », explique Ronan.

Aujourd’hui, près de mille ruches employant des dizaines de millions d’abeilles et produisant environ 30 tonnes de miel travaillent parfaitement au noir dans le ciel parisien.

Articles de journaux | 18 fév. 2022
Le Parisien

Article de Janvier 2021:

Le PSG nous a ouvert son stade pour vous faire découvrir cette enceinte mythique côté coulisses.
Malgré le manque d’espace, le Parc des Princes a lancé une production de miel.
Une initiative de la Société d’exploitation sports événements (SESE), la filiale du PSG, en charge de la gestion du stade, dans une démarche écologique limitée par le manque d’espace, mais en développement. « Ici, on est sur l’ancien terrain d’échauffement, qui a ensuite été un peu abandonné et a aussi servi de terrain de boules », raconte Chamath Samaranayake, responsable d’exploitation adjoint. Juste à côté des nouvelles cuisines qui n’ont encore jamais tourné à plein depuis leur inauguration à l’été 2020, dix ruches sont soigneusement alignées. « Elles ont été installées en mars et ont permis la première récolte il y a deux mois environ, explique Augustin Masurel, le responsable du site. Il y a pas mal de jardins dans le coin et les abeilles butinent principalement au bois de Boulogne. »

Le Paris Saint-Germain a d’ailleurs fait un communiqué de presse en décembre 2020 concernant la mise en place des ruches:

« Pour produire son miel, le Paris Saint-Germain s’appuie sur le savoir-faire d’une PME artisanale francilienne, Apiterra. Installée a Montreuil, cette entreprise lancée en 2010 a mis en place des solutions innovantes pour lutter contre la disparition des abeilles, l’apiculture urbaine. « Je suis heureux d’accompagner le Paris Saint-Germain dans son projet pour la biodiversité et la sauvegarde de l’abeille par ses actions et animations apicoles, confie Aurélien Zigante, apiculteur en charge des ruches du Paris Saint-Germain. Le Parc des Princes et ses sportifs de haut niveau partagent dorénavant leurs espaces avec leurs nouvelles ruches et leurs abeilles, véritables athlètes elles aussi pour la biodiversité. Bravo au Paris Saint-Germain pour ce projet et son ambition de faire plus chaque jour en faveur de l’environnement. » »

Article de Septembre 2018:

« A MARCOUVILLE, les gens ne se parlent plus, c’est chacun chez soi ! Alors si on peut amener un peu de vie et permettre aux gens de se rencontrer, c’est extraordinaire. »
Habitante des Hauts-deMarcouville, à Pontoise, depuis 1975, Joséphine a vu défiler bon nombre de voisins. Mais avec le temps, les liens sociaux se sont considérablement dégradés, tout comme la perception du quartier.
Pour remédier à ce manque de dialogue et « redorer l’image » de cette résidence, son bailleur vient de faire installer deux ruches sur le toit.
« L’idée est de favoriser le vivre ensemble par la biodiversité, explique Olivier Lafargue, directeur de la gestion locative pour le Logis social du Val-d’Oise (LSVO). Trois à quatre fois par an, on proposera des animations gratuites pour sensibiliser et rassembler les familles. » Découverte du métier d’apiculteur, extraction du miel, dégustation, confection de bougies en cire… Les ateliers seront variés et proposés aux enfants comme aux adultes. BIENTÔT UN MIEL DES HAUTS-DE-MARCOUVILLE
Pour animer ces temps d’échange et s’assurer de la bonne santé des abeilles au quotidien, LSVO a fait appel à Apiterra. « Il y a un énorme élan de sympathie pour les abeilles, pointe Ronan de Kervénoaël, qui dirige l’entreprise. Parce qu’ils s’impliqueront dans l’entretien des ruches, les habitants seront fiers de leur résidence. » Du haut de ses 9 ans, Nelson est enchanté d’apprendre la nouvelle : « Je n’ai jamais vu de ruche ! J’aimerais bien savoir comment ça marche. »
Chargée de développement social pour LSVO, Madjibi Larmé confirme qu’une telle opération est bienvenue à Marcouville.

« Ici, il y a beaucoup de familles monoparentales et degens qui souffrent de l’isolement, analyse-t-elle. Ils ont difficilement accès aux ioisirs ou à la culture. Il y a donc un vrai besoin de développer le lien social. »
La première récolte prévue pour le mois d’août permettra de faire connaître l’existence des ruches à tous les locataires. Ce sera alors l’occasion de lancer les ateliers d’extraction du miel. « Selon les quantités récupérées, on pourra peut-être faire un cadeau de bienvenue aux nouveaux arrivants, réfléchit déjà Olivier Lafargue. Nous allons créer un étiquetage pour que chaque pot porte le nom des Hauts de – Marcouville . » JULIE HÉNARD

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