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Articles de journaux | 18 fév. 2022
La voix du Nord

Les abeilles d’Apiterra embauchées comme animatrices sur la zone du Luc Trois ruches ont été installées mardi matin sur le parking du centre commercial. Un geste en faveur de l’environnement et de la préservation de l’abeille. Les clients, mais aussi des classes si elles le souhaitent, seront invités à assister à la récolte du miel.

DECHY. Elles n’étaient pas très contentes, les abeilles d’Apiterra, en débarquant sur la zone du Luc après un long trajet en voiture. Mais elles se sont vite calmées et sont rentrées bien sagement dans leur ruche. Ce sont des abeilles frère Adam, une souche irlandaise bonne pâte, spécialement choisie pour son caractère pacifique. C’est que désormais, elle vont devoir cohabiter avec les clients du centre commercial du Luc et trouver leur pitance dans un rayon de trois kilomètres autour de leurs pénates. Ronan de Kervénoaël, le patron d’Apiterra, n’est pas inquiet. Ses butineuses vont vite se familiariser avec leur nouvel environnement et trouver de quoi faire leur miel pour se nourrir tout au long de l’année et même, en offrir une vingtaine de kilos par ruche au public. Julie Pinault, l’apicultrice d’Apiterra, les a installées mardi matin au milieu d’un petit espace vert, sur le parking du centre commercial. Les trois ruches ont été posées dans un ancien bassin de collecte des eaux de pluie clos par un grillage et une haie afin de les isoler un peu du grand public. Les abeilles frère Adam sont sympas, mais il ne faut quand même pas aller leur faire des chatouilles sous les mandibules. C’est la foncière Frey, la société qui gère le zone du Luc, qui finance l’installation de ces ruches, leur entretien et l’organisation d’animations par Apiterra. Pour Akin Yaman, responsable technique et maintenance
du groupe Frey, c’est un geste en faveur de la préservation de l’environnement et de l’écologie. Ce n’est d’ailleurs pas un coup d’essai puisque le siège de l’entreprise a déjà ses ruches de même que deux autres parcs commerciaux, à Villebon-sur-Yvette et Cesson. L’arrivée de ces abeilles sera donc l’occasion d’organiser des animations pour le public, au moment de la récolte du miel. «Nous nous limitons à une récolte en juin, explique Ronan Kervenoaël. C’est un choix que nous faisons pour les laisser tranquilles le reste de l’année. Il faut qu’elles
puissent reconstituer leur stock afin d’être autosuffisantes en nourriture pendant tout l’hiver.» Les abeilles de la zone du Luc seront donc traitées comme des petites reines, Le miel de ces médiatrices culturelles d’un genre nouveau ne sera d’ailleurs pas vendu, mais offert aux participants à l’animation. Leur rôle sera de faire parler de l’abeille et de la nécessaire préservation de l’environnement dans un endroit où elle n’a normalement pas droit de cité. « Beaucoup de monde passe par les centres commerciaux, constate Ronan Kervennoaël. C’est une bonne occasion de faire de la sensibilisation auprès des enfants comme des adultes.»

Articles de journaux | 18 fév. 2022
Apiterra sur Le Point

En ville, les ruches s’épanouissent bien mieux qu’a la campagne

Quelle entreprise parisienne n’a pas encore de ruches sur son toit ? C’est devenu un véritable phénomène de mode. Y ont succombé : VinciL’OréalCanal+ et même nous, Le Point. C’est en 2016 que nos abeilles ont débarqué du Maine-et-Loire, livrées par Apiterra, une entreprise spécialisée dans l’installation de ruches en ville. Dès le premier jour, les braves ouvrières se sont admirablement adaptées à l’environnement parisien.

Si les ruches parisiennes peuvent également connaître des mortalités, celles-ci n’ont pourtant rien à voir avec les accidents météorologiques ou la présence de pesticide comme on l’observe dans les campagnes françaises. Les abeilles parisiennes ont la chance de butiner des fleurs d’arbres ou de balcon sans dose massive de pesticides.

Faire connaître l’abeille en ville

Drôle de zèbre que Ronan de Kervénoaël, le fondateur d’Apiterra, qui abandonne subitement sa place de dirigeant dans une grosse boîte internationale pour faire son miel. « En 2010, j’ai eu un électrochoc en lisant un article qui démontrait que la disparition des abeilles entraînerait le grave déclin de la pollinisation et donc de toute l’alimentation humaine. J’ai démissionné pour prendre un sac à dos et j’ai fait le tour de tous les professionnels de l’apiculture ; je suis parti en Angleterre, en Irlande, en Italie et en France. Je suis revenu à Paris avec l’objectif d’élever des essaims et faire connaître l’abeille en ville. »

Avant de créer Apiterra, il consulte notamment Yves Le Conte, directeur de l’unité recherche abeilles et environnement de l’Inra. « Le plus grand spécialiste en France ! » explique-t-il. Sur ses conseils, il sélectionne la souche la plus douce d’abeille, la Buckfast, créée par un moine. Il apprend à fabriquer des essaims. Apiterra travaille volontiers avec les collectivités locales qui veulent impliquer des jeunes, des chômeurs ou encore des patients d’hôpitaux psychiatriques. « Nous voulons jouer un rôle social », explique Ronan.

Aujourd’hui, près de mille ruches employant des dizaines de millions d’abeilles et produisant environ 30 tonnes de miel travaillent parfaitement au noir dans le ciel parisien.

Articles de journaux | 18 fév. 2022
Le Parisien

Article de Janvier 2021:

Le PSG nous a ouvert son stade pour vous faire découvrir cette enceinte mythique côté coulisses.
Malgré le manque d’espace, le Parc des Princes a lancé une production de miel.
Une initiative de la Société d’exploitation sports événements (SESE), la filiale du PSG, en charge de la gestion du stade, dans une démarche écologique limitée par le manque d’espace, mais en développement. « Ici, on est sur l’ancien terrain d’échauffement, qui a ensuite été un peu abandonné et a aussi servi de terrain de boules », raconte Chamath Samaranayake, responsable d’exploitation adjoint. Juste à côté des nouvelles cuisines qui n’ont encore jamais tourné à plein depuis leur inauguration à l’été 2020, dix ruches sont soigneusement alignées. « Elles ont été installées en mars et ont permis la première récolte il y a deux mois environ, explique Augustin Masurel, le responsable du site. Il y a pas mal de jardins dans le coin et les abeilles butinent principalement au bois de Boulogne. »

Le Paris Saint-Germain a d’ailleurs fait un communiqué de presse en décembre 2020 concernant la mise en place des ruches:

« Pour produire son miel, le Paris Saint-Germain s’appuie sur le savoir-faire d’une PME artisanale francilienne, Apiterra. Installée a Montreuil, cette entreprise lancée en 2010 a mis en place des solutions innovantes pour lutter contre la disparition des abeilles, l’apiculture urbaine. « Je suis heureux d’accompagner le Paris Saint-Germain dans son projet pour la biodiversité et la sauvegarde de l’abeille par ses actions et animations apicoles, confie Aurélien Zigante, apiculteur en charge des ruches du Paris Saint-Germain. Le Parc des Princes et ses sportifs de haut niveau partagent dorénavant leurs espaces avec leurs nouvelles ruches et leurs abeilles, véritables athlètes elles aussi pour la biodiversité. Bravo au Paris Saint-Germain pour ce projet et son ambition de faire plus chaque jour en faveur de l’environnement. » »

Article de Septembre 2018:

« A MARCOUVILLE, les gens ne se parlent plus, c’est chacun chez soi ! Alors si on peut amener un peu de vie et permettre aux gens de se rencontrer, c’est extraordinaire. »
Habitante des Hauts-deMarcouville, à Pontoise, depuis 1975, Joséphine a vu défiler bon nombre de voisins. Mais avec le temps, les liens sociaux se sont considérablement dégradés, tout comme la perception du quartier.
Pour remédier à ce manque de dialogue et « redorer l’image » de cette résidence, son bailleur vient de faire installer deux ruches sur le toit.
« L’idée est de favoriser le vivre ensemble par la biodiversité, explique Olivier Lafargue, directeur de la gestion locative pour le Logis social du Val-d’Oise (LSVO). Trois à quatre fois par an, on proposera des animations gratuites pour sensibiliser et rassembler les familles. » Découverte du métier d’apiculteur, extraction du miel, dégustation, confection de bougies en cire… Les ateliers seront variés et proposés aux enfants comme aux adultes. BIENTÔT UN MIEL DES HAUTS-DE-MARCOUVILLE
Pour animer ces temps d’échange et s’assurer de la bonne santé des abeilles au quotidien, LSVO a fait appel à Apiterra. « Il y a un énorme élan de sympathie pour les abeilles, pointe Ronan de Kervénoaël, qui dirige l’entreprise. Parce qu’ils s’impliqueront dans l’entretien des ruches, les habitants seront fiers de leur résidence. » Du haut de ses 9 ans, Nelson est enchanté d’apprendre la nouvelle : « Je n’ai jamais vu de ruche ! J’aimerais bien savoir comment ça marche. »
Chargée de développement social pour LSVO, Madjibi Larmé confirme qu’une telle opération est bienvenue à Marcouville.

« Ici, il y a beaucoup de familles monoparentales et degens qui souffrent de l’isolement, analyse-t-elle. Ils ont difficilement accès aux ioisirs ou à la culture. Il y a donc un vrai besoin de développer le lien social. »
La première récolte prévue pour le mois d’août permettra de faire connaître l’existence des ruches à tous les locataires. Ce sera alors l’occasion de lancer les ateliers d’extraction du miel. « Selon les quantités récupérées, on pourra peut-être faire un cadeau de bienvenue aux nouveaux arrivants, réfléchit déjà Olivier Lafargue. Nous allons créer un étiquetage pour que chaque pot porte le nom des Hauts de – Marcouville . » JULIE HÉNARD

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